Site officiel de Miss Kittin - Djette Electro / Techno : www.misskittin.com

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Site officiel de Miss Kittin - Djette Electro / Techno
Miss Kittin est une Djette française qui s'est exilée à Berlin en 2003.
Je suis née à Grenoble en 1973. Comme mes parents étaient encore très jeunes à l’époque, il y avait tout le temps pour la musique à la maison, on écoutait Genesis, Supertramp, Miles Davis, Philadelphia Sound, Maria Callas, Pink Floyd et bien sûr, les Beatles. Je me souviens de ma mère faisant le ménage en écoutant les 4 Saisons de Vivaldi… Vers l’âge de 6 ans, je jouais souvent du piano chez mes grands-parents pour m’amuser, en essayant de reproduire les mélodies que j’entendais à la radio. Ils m’ont payé des leçons de piano mais j’ai arrêté au bout de deux ans. J’ai aussi fait de la danse classique de 5 à 22 ans. ETUDES Après un bac « éco » en 1990, j’ai étudié l’art, d’abord à Marseille en 91 puis l’art contemporain aux Beaux-Arts de Grenoble en 93-94. J’ai terminé mes études avec un diplôme en design graphique à Amiens en 95 avant de me lancer complètement dans le DJing. LA REVELATION RAVE Ma première rencontre avec la musique électronique s’est passée dans un club new-wave à Grenoble où j’ai rencontré The Hacker. Pour le réveillon de l’année 90, des DJs de Valence y ont joué *Bacalao*, le tube techno-dance espagnol. Le club est rapidement devenu un club dance où l’on jouait U96, 2 Unlimited, Usura et Transformer 2. Comme j’avais besoin d’argent, j’ai proposé au boss de devenir go-go dancer comme à Ibiza, jamais nue, juste pour le spectacle. Les premiers DJs invités que j’ai vu sont Jack De Marseille, Anthony et Jeff Valle. Une semaine plus tard, mes amis et moi sommes allés à notre première rave party : La révélation ! KLF, LFO, Aphex Twin, Autechre et les premiers disques du label Warp sont devenus nos disques de chevet. Les Alpes devenaient alors la scène club la plus intéressante de France. En 1993, la scène rave bouillonnait, on traversait le pays en écoutant à fond des club tapes belges et des DJ sets, on ne vivait qu’en attendant le week-end à la recherche des meilleurs DJs qui nous feraient danser. Nos meilleurs souvenirs de soirées sont Borealis #1 à Montpellier et la soirée improvisée Spiral Tribe près de l’aéroport d’Orly juste après qu’ils aient échappé de justesse à des poursuites judiciaires en Angleterre. Un peu après, la tribu est restée dans notre ville natale et a organisé des soirées clandestines mémorables dans les bois. Liza N´Eliaz et Electric Indigo sont devenus des héros locaux. Nostalgie, folie et liberté sont les mots qui décrivent parfaitement cette époque complètement folle qui nous manque parfois. LES DEBUTS En 1994, j’ai réalisé mon premier mix chez mon petit ami à la suite d’une petite embrouille assez drôle à propos de sa technique. Il a raté un mix, je lui ai expliqué mon point de vue, il l’a mal pris et il m’a dit de le faire moi-même. J’ai réussi du premier coup. Naïve comme j’étais, je me suis dit que c’était facile et j’ai acheté mes premiers disques : *Fuse* de Richie Hawtin, *Protein Valve* de Robert Hood sur M plant, Pizzaman... Encore étudiants, nous avons créé "Swift Tuttle" avec quelques amis, un collectif qui proposait de la déco pour des rave parties. Comme ça, on pouvait rentrer gratuitement dans les soirées et se faire un peu d’argent de poche. Nous avons organisé notre première soirée illégale dans un ancien fort militaire dans les montagnes. J’ai joué des disques pour la première fois dans la chill out room sur une seule platine. C’est aussi la première fois que le nom de ‘Miss Kittin’ apparaissait sur un flyer. Trois mois plus tard, je jouais officiellement dans ma première soirée avec Eric Rug, Bertrand et Miloch. Chez moi, je n’avais pas de platine, juste une boîte en plastique avec 20 disques. Je séchais les cours pour m’entraîner chez un ami avant les soirées. Après trois mois à travailler comme caissière dans un hypermarché, je me suis achetée deux platines Technics d’occasion qui venaient d’une station de radio. Je les utilise encore aujourd’hui. J’ai ensuite intégré l’agence de booking Tekmics créée par mon ami Miloch. En 95 et 96, j’ai commencé à beaucoup jouer dans le pays, tout d’abord aux célèbres raves clandestines Dragon Bal dans le Sud mais aussi à Chicago pour Mike Dearborn et à Moscou. Après quelques problèmes à la fac, j’ai décidé d’arrêter mes études au moment où le DJing occupait déjà la moitié de mon temps. Pendant l’été, j’ai rencontré DJ Hell à Marseille, il venait juste de lancer son label "International Dj Gigolo" et je lui ai fait écouter une cassette avec des boucles que j’avais faites avec une TR808 chez des amis à Genève. Il m’a demandé si j’en avais d’autres. De retour à Grenoble, j’ai appelé The Hacker et nous avons enregistré le morceau Frank Sinatra dans le studio de Kiko au dessus de son magasin de disques. Nous l’avons envoyé à DJ Hell sans aucun autre morceau sur la cassette. Quelques semaines après, il en jouait déjà une version dub plate. Il m’a invitée à Munich pour jouer au légendaire club Ultraschall. C’était ma première visite en Allemagne. L’ASCENCION A la fin de l’année 1996, j’ai emménagé à Paris dans une maison très particulière que je partageais avec Sex Toy, Rachid Taha et les propriétaires du célèbre club gay Le Pulp. The Hacker et moi avons ensuite enregistré ‘Frank Sinatra’ pour le label de DJ Hell. J’ai alors commencé à traîner la moitié du temps à Genève avec mes amis du label/maison de disques Mental Groove. Durant l’été 97, j’ai quitté Paris pour Genève. J’ai travaillé pendant quelques mois au magasin de disques Mental Groove. The Hacker et moi avons finalement sorti notre premier EP ‘Champagne!’ sur Gigolo avec un total de 8 morceaux composés lorsque je passais par Grenoble. J’ai tout de suite commencé à jouer beaucoup plus souvent en Allemagne en tant que nouveau membre de l’agence de booking Gigolo-Disko B. En 98, le morceau ‘1982’ extrait du EP ‘Champagne!’ a rencontré un succès inattendu grâce aux exemplaires de promotion distribués aux DJs underground de Berlin. C’est là-bas que nous avons joué pour la deuxième fois, au club Suicide. Nous avons alors commencé à tourner sans arrêt à travers l’Europe. En 99, nous avons joué live à la fameuse mega rave Mayday à Dortmund devant 30000 personnes. Nous avons ensuite sorti notre second EP ‘Intimités’ sur Gigolo. J’ai reçu des propositions de collaborations de plusieurs musiciens pour mes paroles. En 2000, nous avons donné notre plus gros concert à Barcelone lors du festival Sonar. Ça a changé ma façon de jouer en créant une nouvelle interaction entre le public et nous. Je suis retournée pour la seconde fois à la rave Mayday en tant que DJ. J’ai rencontré Felix Da Housecat lors d’un festival en Suisse et le lendemain nous écrivions "Silver Screen Shower Scene" et "Madame Hollywood" dans le petit studio d’un ami à Genève. 2001: LA RECONNAISSANCE Miss Kittin et The Hacker sortent leur premier album sur le label Gigolo. Ma voix apparaît sur un titre avec Steve Bug, sur un album de Felix Da Housecat et sur l’album d’un ami zurichois Goldenboy. Je suis tout à coup la bienvenue en France après 5 ans d’absence. Je suis partie en vacances pour la première fois en 3 ans. Après le tournage du clip de la reprise de Sven Vath du "Je t´aime moi non plus" de Serge Gainsbourg, j’ai décidé d’aller vivre à Berlin. 2002: LES AFFAIRES MARCHENT BIEN J’ai un job de conseillère en direction artistique chez Mute Records et je donne quelques shows plus ou moins réguliers sur la radio web PBB de Laurent Garnier (www.laurentgarnier.com) depuis septembre 2002. J’ai enregistré une chanson avec Tricky à Los Angeles et je me suis remise au rock’n’roll. J’ai donné quelques concerts et Dj sets sur de grandes scènes de festival, principalement avec The Hacker, avant de décider d’un commun accord de nous accorder un break après cinq années de tournées non stop ! Le festival Benicassim en Espagne a vraiment été le plus grand moment de l’année. Il était temps de me consacrer à mon projet solo et de mettre en parenthèse pour un temps les concerts et les interviews, ne gardant qu’un DJ set par semaine, principalement à Genève, Zurich et Barcelone. Pour Noël, j’ai reçu un joli cadeau : www.misskittin.com est né ! 2003: BERLIN J’ai trouvé un chez moi, me suis rapprochée de la scène locale et m’y suis impliquée. J’ai commencé à travailler sur mon album, aidée de deux ingénieurs du son : Tobi Neumann et Thies Mynther alias "Glove", qui ont travaillé avec Chicks On Speed. C’est d’ailleurs comme ça que je les ai rencontrés, après avoir écrit "Cheek shaving" pour les filles du groupe et enregistré des voix pour Steve Bug. J’ai aussi collaboré avec T.Raumschmiere du label Shitkatapult sur le morceau "The game is not over". J’ai découvert deux pays fascinants, le Brésil puis l’Australie lors d’une tournée très particulière avec The Hacker car nous n’avions jamais joué là-bas auparavant. J’ai créé mon propre label "Nobody´s bizzness" pour y sortir mon album et garder le maximum de liberté avec ma musique. J’ai commencé par composer la musique toute seule, la plupart du temps sur la route avec mon ordinateur. Le remix du "Alles Sehen" de Ellen Allien est le premier morceau publié que j’ai fait tout seule. Comme DJ, j’ai obtenu tout ce que je pouvais rêver de mieux, j’ai joué avec mes héros dans des fêtes et des endroits incroyables. J’ai accepté une nouvelle résidence dans le club Cocoon de Sven Vath qui va ouvrir au printemps 2004 ! A PROPOS DE MON STYLE Le DJing est mon activité principale, je travaille chaque week-end dans des clubs ou des festivals depuis 1994. J’ai commencé par des sons de hard techno-acid : Drop Bass Network, Analog, Interr-Ferrence, Force Inc, SP23 jusqu’à la techno de Detroit et la techno expérimentale. J’imagine que c’était une façon d’exprimer une agressivité adolescente tardive. Avec l’expérience, je me suis orientée vers une musique plus douce et plus ouverte. En fait, je joue tout ce qui me plaît : de la techno minimaliste en passant par la deep jusqu’à la kicking techno ainsi que des morceaux rigolos ou bizarres, des classiques, de l’electro, peu importe. C’est pour cela que j’ai du mal à décrire mon style. Un set monotone de 2h m’ennuie vraiment. Si je ne m’amuse pas, je ne vois pas comment je pourrais amuser les gens. D’une certaine façon, le DJing est quelque chose d’égoïste. Je le crie haut et fort : je ne le fais pas pour les gens. Je n’ai jamais prétendu éduquer le public, je partage juste quelque chose de profond en moi et je le fais sérieusement parce que j’aime ça. Michael Mayer (Kompakt records, Cologne) a dit : “Il faut s’amuser de manière sérieuse”. Il s’agit avant tout d’un travail et on ne devrait jamais perdre de vue qu’être payé pour donner du plaisir aux gens est un grand privilège. Si les risques que je prends quand je mixe sont ma marque de fabrique, ma priorité est toujours de faire danser ceux qui me font vivre. C’est une question de respect. Je pense posséder une technique assez bonne qui remonte à ma période acid mais je considère que ma meilleure arme, c’est de me concentrer sur les choix musicaux. J’adore jouer des disques, c’est sûrement la chose que je fais le mieux dans ma vie. Je le fais parce que je m’amuse beaucoup et parce que ça me rend libre, ça prend parfois un côté assez méditatif. Avec les disques, rien n’est préparé, chaque disque a son importance. Je compare souvent un DJ set à une partie de tennis où chaque balle compte. Mais les gens me connaissent plus pour ma voix même si je n’ai jamais pris de cours de chant. EN TANT QUE FEMME On ne peut rien faire contre la starification des DJs. Même si je suis contre, car nous ne faisons que jouer des disques, les gens ont toujours eu besoin d’icônes. En tant que femme, je suis fière de faire partie de la minorité. Je ne peux pas dire que j’ai été directement victime du machisme mais c’est un fait, nous gagnons généralement moins que les hommes et c’est triste à dire, mais on réussit rarement quand on est grosse et laide. Quand on mixe, les gens regardent d’abord notre look, notre visage, nos fringues, notre maquillage. Si les DJs masculins ont souvent beaucoup de succès auprès des filles lorsqu’ils sont célèbres, ça n’est jamais le cas directement pour nous. Alors que l’attitude groupie est quelque chose de très féminin, cela arrive que les hommes fantasment sur nous mais ils ont généralement trop peur de nous approcher et je dois dire que cela m’arrange bien !!!

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